A la TV au mois de Juin

France 5

Mercredi 06 Juin 2007 - 14:44

Carnet du Japon : Sushis, thé et sake
Série documentaire en 4 épisodes de 52' écrite et réalisée par Jean-Louis Porte.
Narration : Jean-Louis Porte. Voix off : Sylvie Moreau. 2005.

"Carnets du Japon" est une invitation à la découverte de la culture et de la société japonaise à travers la vie quotidienne de notre époque. Dans cette série, comme dans "Carnets de Chine", "Carnets d'Inde" et "Carnets d'Egypte", sont abordés divers aspects de la culture japonaise à travers la réalité au quotidien.
(1 / 4) Sushis, thé et saké. Entre les sushis et les sashimis, au restaurant, l'hésitation est fréquente. Partir à la découverte de ces mets, c'est visiter les restaurants où chaque cuisinier connaît plus de spécialités que le client ne pourra en déguster : depuis le poisson découpé servi encore frétillant jusqu'au fugu porteur de toxines mortelles qui ne peut être préparé que par des chefs agréés. C'est découvrir la criée la plus grande du monde à Tokyo où d'immenses thons sont découpés au sabre, suivre les pêcheurs en mer, visiter un atelier de fabrication de sushis et de poissons en plastique plus vrais que nature, se perdre dans l'aquarium géant d'Osaka. Le thé peut exister sous différentes saveurs. À Tokyo, chaque soir, dans des rues étroites noyées sous le vacarme du métro aérien, une multitude de petits bars accueille les employés qui, entre le bureau et la maison, vont trouver grâce au saké un instant de repos.



Vendredi 08 Juin 2007 - 01:21

Les sumo, gardiens de la tradition
Durée : 00:47
Documentaire de 47' réalisé par Tsuruno Tetsutaro.

Plus qu'un sport national, le sumo est un art, une expression culturelle issue du shinto et dont les racines spirituelles se perdent dans la nuit des temps. Aujourd'hui encore, ces lutteurs spectaculaires jouissent d'une notoriété singulière au Japon. A l'instar des rugbymen et des footballeurs en Europe, ils ornent les calendriers et génèrent de nombreux produits dérivés. Les sumos n'en restent pas moins les gardiens d'une longue tradition. Leur vie et celle de leur entourage sont régies par des codes millénaires. Il faut, par exemple, dix ans d'apprentissage pour devenir coiffeur de sumos tant les '' chon mage '' les coiffures traditionnelles, sont complexes. Presque autant pour devenir '' gyoji '', arbitre aux fonctions finalement restreintes. La construction du '' dohyô' ', le ring d'argile et de paille sur lequel les combats ont lieu, prend plusieurs jours. Il mobilise plus d'une quarantaine de spécialistes qui le bâtiront à l'aide d'outils traditionnels et dans le plus grand respect. En ce début de millénaire, le monde du sumo doit faire face à deux nouveaux problèmes : le désintérêt des jeunes Japonais, au profit d'autres sports comme le base-ball et le football, et l'arrivée récente de lutteurs étrangers, qui a choqué une partie de la population japonaise.




Mercredi 13 Juin 2007 - 14:41

Carnet du Japon : Geishas, samouraïs et lolitas
Durée : 52'
Série documentaire en 4 épisodes de 52' écrite et réalisée par Jean-Louis Porte.
Narration : Jean-Louis Porte. Voix off : Sylvie Moreau. 2005.

(2 / 4) Geishas, Samouraïs et Lolitas. Les geishas ont fait la fortune de Kyoto, l'ancienne capitale du Japon du IXe au XIXe siècle. Leur nom signifie ' personne de l'art '. À Tokyo, c'est avec la photographe Yoko Yamamoto, spécialiste des geishas, que le téléspectateur découvre le quartier caché de Kagurazaka, un dédale de petites rues encerclé par les gratte-ciel où les geishas rejoignent leurs clients dans des restaurants aux façades anonymes qui n'acceptent des clients que sur recommandation. Au ' village du cinéma ' des studios Toei à Kyoto, les visiteurs viennent assister aux tournages de films sur les samouraïs. Le XVIIe siècle a été l'âge d'or des samouraïs. L'empereur est réduit au simple rôle de dieu vivant parmi les hommes et tout le pouvoir est aux mains du shogun, le général en chef. Enfin, les lolitas défraient la chronique à Tokyo. Ce sont des adolescentes apparues dans les années 90 en réaction à l'intérêt voyeuriste naissant pour les jeunes lycéennes. Exubérantes et provocatrices, les lolitas perturbent les cours de leurs lycées, occupent les espaces des grands centres commerciaux. Elles nient le pouvoir et la mode, jouent la caricature et la parodie.

J'ai regardé celui sur les sumo, je l'avais déjà vu mais vraiment très instrutif... autant pour l'histoire du sumo que pour mieux comprendre encore la mentalité de ce pays


Par ailleurs ce mois de juin voit également la naissance de Nolife

Alors Nolife c'est quoi : c'est une nouvelle chaîne de tv accessible entre autre sur free tv (chaîne 32)

le nolife désigne une personne qui passe un peu trop de temps devant son pc a jouer ou à regarder des anime donc une personne qui ne vit plus en dehors de chez lui (nolife = pas de vie)...

c'est donc un terme récurrent dans le monde du jeu vidéo donc dans le monde de la japanime également... on remarquera que personne n'accepte d'être traité de nolife en même temps c'est un peu le signe rassurant de l'appartenance à un groupe d'où le fait que ce terme est très usité à titre amicale et légèrement délirant, une occasion donnée à chacun de justifier l'existence d'une vrai vie à côté du monde virtuel

Qui se charge de confisquer l'ordinateur de Bushi avant qu'il ne devienne un nolife?

Ah !! l'inconstance des femmes !!!!!

ici Bushi est un nolife et sur un autre sujet, c'est un polisson à la double vie .....

va t'en savoir, Charles, ce que ça pense vraiment ces bêtes-là !!!

un site pour isa pour mieux comprendre le bushi :www.copinedegeek.com

geek=nerd=nolife

T'es ben gentil mais j'avais bien ciblé le spécimen nolife.....moi, le mien c'est un" filmo nolife" qui passe ses loisirs à regarder des films!